À Saint-Pétersbourg, au XIXe siècle, le jeu est une passion. Hermann, officier sans fortune, apprend qu'Anna Fedotovna détient le secret des trois cartes gagnantes. Comment l'obtenir ? Faire avouer la vieille comtesse ou séduire Lisabeta, sa jeune demoiselle de compagnie ? Et si c'était un fantôme qui lui révélait ce terrible secret ?
Après la Naissance de la tragédie, dans laquelle il cherche à comprendre comment naît la tragédie grecque et de quelle manière elle est liée par essence à la culture allemande incarnée par Richard Wagner, Nietzsche s'attaque de manière plus explicite à des sujets actuels.
Vous voulez du privé californien ou du tueur en série à Miami ? Passez votre chemin. Ici, c'est la campagne. Le Béarn. Des vaches et des champs de maïs. Avec quelques usines au milieu, qui suçotent les dernières traces du gaz de Lacq. Exactement l'endroit où il n'arrive jamais rien.
Lorsque Les Orientales paraissent en 1829, le romantisme français s’est déjà tourné vers l’Orient que la guerre d’indépendance grecque a rendu plus présent encore. Mais si Hugo n’est pas ici un précurseur, la nouveauté de son recueil éclate pourtant dans la couleur, l’étrangeté luxuriante des mots, la puissance d’images concrètes et toute la virtuosité du...
Issu de la vieille noblesse militaire, Alfred de Vigny passe quinze ans dans l'armée sans combattre. Après cette vie de garnison monotone, il fréquente les milieux littéraires parisiens, tel que le cénacle romantique de Victor Hugo.
Harvey Cheyne est le fils gâté et arrogant d'un millionnaire américain. Lors de la traversée de l'Atlantique qui le mène vers l'Europe, le jeune garçon tombe à la mer. Un pêcheur le récupère à bord d'un morutier. Harvey est aussitôt enrôlé pour la saison de pêche qui bat son plein.
1787 : la Bounty, vaisseau de Sa Très Gracieuse Majesté George III d'Angleterre, appareille pour une importante mission dans le Pacifique Sud, sous les ordres du terrible capitaine Bligh.
« Je vous offre la traduction dun livre dun ancien sage, qui, ayant le bonheur de navoir rien à faire, eut celui de samuser à écrire lhistoire de Zadig : ouvrage qui dit plus quil ne semble dire. Je vous prie de le lire et den juger ».
« Mais, monsieur, dit le bailli avec son ton imposant, comment avez-vous pu abandonner ainsi père et mère ? Cest que je nai jamais connu ni père ni mère », dit létranger. La compagnie sattendrit, et tout le monde répétait : Ni père, ni mère !
Entre les deux romans de sa fresque, le portrait d'une classe sociale et le récit historique, Tolstoï tend une passerelle, livrant une réflexion philosophique sur le décalage de la volonté humaine aliénée à l'inéluctable marche de l'Histoire ou lorsque le destin façonne les hommes malgré eux.