L’auteur, que l’on surnomme le « Prince des conteurs », nous décrit dans ses récits, inspirés de la tradition populaire, la vie wallonne de l’entre-deux-guerres. Ces contes renvoient à une littérature engagée qui veut promouvoir la Wallonie.
Jean-Pierre Fleury a exploré les quatre coins du monde : mais c'est dans les petits chemins de France qu'il choisit de nous embarquer. Il nous fait redécouvrir l'insolite et le merveilleux de nos campagnes, nous invite à observer la nature que nous ne regardons plus, à entendre les animaux que nous n'écoutons plus.
Veuve de la Grande Guerre, Mathilde vivote grâce à sa petite exploitation. Elle possède également une sablière qui intéresse fortement la verrerie voisine. Sur les conseils d’Angelo, le fils de ses métayers qui ne la laisse pas indifférente, elle développe ce commerce et commence à s’enrichir. C’est à ce moment que réapparaît Raymond, son amour de...
Tous les jours, René passe devant la boutique de Maxime. Tous les jours, il hésite. Aujourd’hui, il se décide à entrer et à faire appel aux services de l’écrivain public. À quatre-vingt-quinze ans, il souhaite que Maxime l’aide à mettre sur le papier l’histoire de sa vie : son arrière-petite-fille doit savoir d’où elle vient !
Il est dix neuf heures trente. Deux tombereaux montent la rue du Rocher en direction du cimetière des Errancis, près de la barrière de Monceaux. Il est tard, on jette pêle-mêle dans la fosse les corps des suppliciés du jour. Parmi eux, Maximilien Robespierre et Louis-Antoine Saint-Just, né à Decize il y a vingt-six ans. Nous sommes le 10 Thermidor de l’An...
1944. Après avoir été tondues, des femmes sont contraintes de défiler nues sur les pavés recouverts de débris de verre. Bébert et le Pointu, deux résistants, tentent d'intervenir pour sauver une jeune femme qu'ils connaissent.
Printemps 1941. Trois femmes, Marie, sa sœur Charlotte et leur mère Madeleine, vivent misérablement. La présence des occupants les divise. Marie fréquente un jeune résistant, Jean, alors que Madeleine se rapproche des soldats allemands afin de survivre.
Lorsque l’épouse chérie d’Aron est victime d’un accident tragique, il appelle immédiatement « Papou », son beau-père, et tous deux se précipitent au chevet de leur protégée. Jour après jour, d’espoir en découragement, ils affrontent ensemble les aléas de son état de santé, aidés en cela par une infirmière dévouée.
Il faut l'entendre, la Yute, emballer son monde avec ses histoires de rien qu'elle transforme en récits épiques. Gouailleuse, elle l'est sûrement. Mais sa truculence dissimule souvent cette tendresse qu'elle n'exprime jamais. Comme ils lui sont reconnaissants, tous ces enfants dont elle s'est occupée, ces enfants devenus grands, et qui viennent...
Février 1849, Paris. Alors qu'une découverte macabre interrompt le bal des muscadins, des hommes sont décapités et leurs têtes emportées aux quatre coins de la ville. Le président Bonaparte charge son agent spécial, Léandre Lafforgue, d'aider la police à résoudre ces affaires.
Les quelques coups à la porte d’entrée ne mettent pas seulement un terme à une veillée qui s’annonçait tranquille à la ferme des Marcillac, ils vont aussi bouleverser la vie de Marinette, la benjamine de la famille. Car celui qui se présente n’est autre que le voisin Charles Aurelle.
Wilma Johnson vivait sur la côte ouest de l’Irlande avec sa famille, essayant de concilier sa vie d’artiste, d’épouse et de mère de trois enfants jusqu’au jour où, à quarante ans, elle se rend soudain compte qu’il n’est plus temps d’attendre et qu’il lui faut apprendre à surfer. Où, mieux qu’à Biarritz ?