Pour son propre plaisir, Albert Ducloz écrit depuis l'enfance romans, poésies, contes et nouvelles. Pourtant, après une carrière de directeur d'établissement de soins, ce n'est qu'en 2002 qu'il publie son premier roman Citadelles d'orgueil. En 2007, il obtient le prix Claude Favre de Vaugelas pour Les Amants de juin.
Après avoir perdu sa femme dans un accident, laissant une trace indélébile au sein de la famille, Philippe élève ses quatre enfants avec l'aide de sa mère Mathilde. Pourtant, quand il rencontre Juliette, la jeune institutrice du village, au sujet des talents de sa fille Nathalie pour le violon, le charme opère.
Qui en voulait à Désiré, le bouilleur de cru ? Lorsque son père, exploitant agricole et bouilleur de cru, périt dans l'incendie de sa maison, la jeune Marie décide d'abandonner ses études universitaires pour reconstruire la demeure familiale et reprendre en main le domaine.
Belle et volontaire, Julie porte sur ses épaules l'avenir de la ferme tout en élevant ses trois enfants depuis que son mari Rémi est resté paralysé suite à un accident. Au village, elle rencontre Florent, tout juste de retour de la guerre et en quête de travail, et l'emploie rapidement à l'année.
Le 26 mars 1962, lors de la tristement célèbre fusillade de la rue d'Isly, Aurore, six ans, voit sa mère Edwige mourir devant ses yeux. La foule la sépare de son père, le Dr Olivier Mollkirch, lequel, blessé à la tête, plonge dans le coma. L'enfant, sous le choc, ne se rappelle pas son nom de famille et les religieuses qui la recueillent ne parviennent...