« J'aspire à un repos absolu et à une nuit continue. Chantre des voluptés folles du vin et de l'opium, je n'ai soif que d'une liqueur inconnue sur la terre, et que la pharmaceutique céleste elle-même ne pourrait pas m'offrir... »
Lorsque Charles Baudelaire écrit Le Spleen de Paris, il veut s'éloigner de la matière, du Spleen et du Temps, mais les lieux qu'il habite de son génie poétique le ramènent inéluctablement aux thèmes du voyage