D’origine espagnole, Frédéric Villar est né en 1960. Il vit et travaille à Bordeaux. Depuis 2002, il a tour à tour publié des nouvelles, des novellas, des romans ayant pour thèmes l’exil, la nuit, l’impermanence… Il a aussi écrit sur le rugby, qu’il a longtemps vécu de l’intérieur, et sur son univers. Il se consacre désormais au roman noir.
Il a promis à Mona de veiller sur sa fille, c’était juste avant qu’elle ne meure – l’ennui, c’est que la gamine en question débloque et pas qu’un peu. Survient la rencontre avec Tito, un vieux fou qui semble en savoir long sur les parents de Thomas, pour lui d’obscurs inconnus – la leçon de généalogie débute, elle sera douloureuse.
Longtemps le rugby a été la maison-mère de Guilhem Arbanats. Tout en lui l'indique, de sa démarche pachydermique à la façon qu'il a de ne pas se sortir de devant quand on le contrarie, en passant par le féroce appétit qui à chaque instant le rattrape. Et puis il y a cette sale cicatrice qui segmente son visage. Guilhem a aimé le rugby et le rugby l'a sans...
Bordeaux... L'autre Bordeaux qui n'est pas présentée en vitrine, celle qui se trouve à deux heures de nulle part. Après cinq années, Marti est contraint de rentrer. Pour avoir laissé une ardoise impossible à effacer, il est salement attendu. Son destin va télescoper celui d'un inconnu, le genre de père de famille à qui l'on donnerait le bon Dieu sans...