Rares sont les ouvrages qui vont chercher ce qui se cache derrière cette terre de cartes postales. Or cette vieille province possède bien d'autres trésors, bien d'autres richesses, un patrimoine oral particulièrement original et varié, transmis de génération en génération depuis ces temps que lon décrit "Immémoriaux".
Rares sont les ouvrages qui vont chercher ce qui se cache derrière cette terre de cartes postales. Or cette vieille province possède bien dautres trésors, bien dautres richesses, un patrimoine oral particulièrement original et varié, transmis de génération en génération depuis ces temps que lon décrit "Immémoriaux".
Notre belle province française est issue d'un passé prestigieux, celui qui aime se replonger dans l'histoire peut grâce à ce livre partir à la rencontre de personnages flamboyants qui ont marqué la mémoire de notre terre de Berry.
Comme lexplique André Germain, Depuis 1951 j'étais tenu de noter chaque jour le compte-rendu de mes activités journalières jusqu'en 1988 date de mon départ en retraite. Quelle bonne idée il a eu là !
Deux fois par semaine, fuyant l'ail qui parfume l'haleine avec une ténacité indiscrète, Robert Cozal remplace par du fromage blanc l'habituel saucisson de son casse-croûte matinal. C'est une coquetterie qu'explique la venue, le lundi et le jeudi, de sa maîtresse la charmante Mme Marthe Hamiet. Quoi de plus pratique qu'un horaire régulier dans ses amours ?
La chanson populaire, dans son sens traditionnel est celle qui a été faite par le peuple, pour le peuple. Sans entrer dans des définitions complexes, c’est celle que l’on jouait dans nos anciennes fêtes populaires à la fin du XIXe et dans la première moitié du XXe siècle.
À l'insu de tous, le peintre Servin cache, dans le débarras de son atelier, un officier de la Garde impériale blessé à Waterloo et recherché par la police pour avoir aidé Napoléon à reprendre le pouvoir pendant les Cent-Jours. Or l'élève favorite du peintre, la talentueuse Ginevra Piombo, ne tarde pas à découvrir le proscrit et tombe aussitôt amoureuse de...
À Paris, au début du XVIIe siècle, trois peintres devisent de leur art. L'un est un jeune inconnu, promis à la gloire : Nicolas Poussin. Le deuxième, Franz Porbus, portraitiste officiel de feu le roi Henri IV, est, lui, dans la plénitude de son talent et au faîte de la renommée. Le troisième, maître Frenhofer, personnage plein de mystère qui a côtoyé les...
Rien ne perd, rien ne se crée, tout se transforme… D’accord avec vous Monsieur Lavoisier mais qu’est-ce qui se transforme en quoi ? S’inquiètent subitement, Basile et Augustin, deux vaillants petits soldats de la Guerre des Boutons. Tout en pissant le plus loin possible, à fin de savoir lequel sera le chef, ils s’interrogent sur le devenir de ce liquide...
La Maison du Chat-qui-pelote, c'est d'abord une enseigne de boutique redoublée d'un tableau : « Une formidable pièce de bois, horizontalement appuyée sur quatre piliers qui paraissaient courbés par le poids de cette maison décrépite, avait été rechampie d'autant de couches de diverses peintures que la joue d'une vieille duchesse en a reçu de rouge.
Dans Les Caprices de Marianne, en 1833, Musset nous présente les deux visages d’une jeunesse désenchantée ; d’un côté, le ténébreux Cœlio, habité par un désespoir amoureux ; de l’autre, son ami ironique, Octave, qui parie sur la dérision généralisée.
Par une lettre, le narrateur est invité à rejoindre son oncle de toute urgence dans le village de Stépantchikovo, où il devra épouser une jeune gouvernante qu'il n'a pourtant jamais vue.